
Contacts
Aujourd’hui j’ai complété de quoi d’ennuyant que j’ai entrepris il y a quelques jours: le ménage de mes contacts. Avec le temps, depuis vingt ans, je me suis ramassé une foule de contact pour les humains de la planète que j’ai du contacter à un moment ou à un autre. Pour certains, c’était par e-mail et d’autres par téléphone. Comme j’ai “exploré” pas mal, je me suis ramassé avec des bottins de contact à droite et à gauche. De temps à autre j’exportais d’une place à l’autre mais pas toujours… Des fois une légère variance donnait lieu à des doublons qui au fil du temps ont évolué d’un bord puis de l’autre. Des fois j’ajoutais à une place, des fois ça s’ajoutais tout seul, etc… Depuis quelques jours j’ai décidé de faire un peu de ménage là-dedans. J’étais tanné de vivre la situation “Je sais que j’ai son e-mail quelque part mais dans lequel donc… Mon iPod? Non… Gmail? non… Mon address book de Yahoo… Non… Ah le voici dans mon address book d’outlook”.
Pour cette consolidation et ce ménage, j’ai décidé de faire confiance à Google. J’ai décidé de prendre Google car j’ai trouvé que c’est lui qui était le plus complet, le plus simple, le plus rapide et le plus versatile. Lorsque nous sommes dans GMAIL, on a bien sûr un onglet de contacts pour jouer là dedans. Mais il y a aussi l’outil en ligne “Google Contacts” que j’ai utilisé. C’est rapide et on peut fait des changements en groupe. Sa fonction pour fusionner deux-trois entrées du même contact fonctionne bien aussi.
Ce n’est pas de quoi de très gratifiant. Je n’ai pas l’impression d’avoir fait avancé la science beaucoup. Mais au moins, je serai plus à l’aise plus tard quand je voudrai appeler quelqu’un ou envoyer un e-mail. Je peux exporter le résultat de mon triage vers les autres outils en ligne, vers mon iPod, etc. Je vais dorénavant essayé d’être discipliné et d’utiliser Google Contacts.
Au final, je me ramasse avec 552 contacts distincts. On ne dénombrera pas ici le nombre de numéro de téléphone ni d’adresses e-mails que ça donne. Je ne pensais pas avoir contacter tant de monde ces dernières vingt années. C’est le bottin d’une vie. Ha! Ha!