Le français est à nous

Le français est à nous

2019-08-26 0 By Denis Bisson

Il y a environ un mois j’ai lu d’un couvert à l’autre le libre “Le Français est nous”. Durant l’été il n’y avait pas de nouvelles émission “Les Grosses Têtes” avec Laurent Ruquier alors pour me désennuyer je me suis mis à écouter le podcast “De Vive(s) Voix” sur RFI. Cette émission s’intéresse à tout ce qui touche la langue française et ils avaient parler en bien de ce livre alors je l’ai réservé puis emprunté à la bibliothèque.

D’abord, j’ai bien aimé le début de ce livre. Les auteures, car ce sont deux femmes, se sont intéressées à nous montrer un peu d’où proviennent les difficultés de la langues. On y apprend que tout au fil de son histoire que ceux qui la “contrôlait” ont imposé toute sorte de règles stupides qui ne sont pas logiques et qui ne donnaient pas grand chose à part nous compliquer la vie.

Visiblement, elles en veulent aux gens de l’Académie Française et ne se gênent pas pour blâmer ces derniers qui ne font rien pour améliorer ou aider la langue à être un peu plus logique. Car en fait au final je crois que leur but est d’essayer de montrer que la langue n’est pas immuable et que c’est correct et pas lâche ou malsain de tenter de l’améliorer, de la rendre plus logique, etc.

Cependant, il y a des chapitres qui sont franchement ennuyant et qu’il me semble qu’elles ont perdus du temps pour de quoi qui n’apportent rien.

Elles semblent plus d’une fois parler du fait que la langue s’est masculiniser pour tranquillement abolir ou bannir des appellations féminines. Elles sont visiblement féministe et veulent montrer que ça ne serait que normale et juste. La règle que “le masculin l’emporte” les fait visiblement suer.

Je l’ai lu mais je ne vais pas le relire je pense.